dimanche 6 novembre 2016

Le Baroque

Journée sympathique au Baroque, repas et spectacle très bien.

Il faudra y retourner.

Tous les participants (+ de 50 personnes) ont apprécié cette journée et sont prêtes à la refaire.

Un bon point pour l'associations des retraités des transports.












mercredi 21 septembre 2016

Irlande 2016, c'est fini


C'est un groupe sympa, où on a ressenti beaucoup de camaraderie entre les participants et les divers intervenants en particulier avec Sebastian (le guide) et Coleman (le conducteur).

Merci à toutes et tous pour votre bonne humeur.

                                   

                                               

lundi 19 septembre 2016

Irlande 2016


Notre voyage en Irlande se passe trés bien, le temps est clément avec nous, pas encore de pluie et il fait doux.

Ce matin (15/9) nous partons visiter une distillerie de Wiskey (Wisky c'est en Ecosse), on va certainement goûter de ce breuvage qui date semble t'il depuis plus de 600 ans.

 Dublin, nous avons pu le premier soir nous promener dans une rue très animée "Temple Bar" et passer un bon moment dans un pub, depuis nous avons visité d'autres Pub.




Un pub.

De beaux paysages, 

Du Wiskey

Des menus traduits en Français ( rien avoir avec le restaurant bien connu du même nom ).


Admirez les murets










vendredi 24 juin 2016

SPTN

Les agents qui détiennent des actions SPTN sont informés de la dissolution de la société.

2 solutions :

Soit ll est détenu le titre et dans ce cas un chèque de 404€ sera donné rapidement.  (Petit rappel prix d'achat 205€).

Soit plus le titre et donc se rapprocher du CE.

Quoi qu'il en soit dans les deux cas se rapprocher du CE (avec ou sans le titre).


vendredi 10 juin 2016

Les retraités (ées) ne lâcheront rien Mr SAPIN.


Black-out ! Des dizaines de milliers de retraité-e-s manifestent dans plus de 90 villes de France : silence radios, silence télés. Mépris ? Non, la crainte que des millions de retraités se reconnaissent dans les revendications portées par les neuf organisations de retraités, revendications auxquelles le ministre Sapin a opposé un rejet catégorique. Nous n’allons pas le rassurer.

Ce gouvernement est sourd aux attentes de ceux qu’il accuse de gâcher la fête de l’Euro de football, de bloquer les entreprises, de perturber les transports. Il se retient de ne pas rendre responsable la CGT de provoquer les intempéries et les inondations…Le Medef empêche la concrétisation d’un accord sur la situation des intermittents. Gouvernement et Medef ont fait le choix de l’épreuve de force, usant et abusant du discours martial et de la posture de fermeté. En espérant qu’à la longue l’opinion se retournera contre les salariés en lutte. Une épreuve de force qui ressemble à une preuve de faiblesse.

L’opinion soutient le mouvement

Mais l’attitude responsable de la CGT et des salariés en lutte, déjouant les pièges de la répression policière, lui complique la tâche. Mercredi soir sur le plateau de la chaîne parlementaire, en plein débat sur la grève des cheminots, un sondage tombe : à la question « Comprenez-vous la poursuite du mouvement de grève à la SNCF », 70 % des personnes interrogées répondent : oui. Malgré les désagréments occasionnés par la grève des transports et l’exploitation qu’en font les médias, une majorité de sondés soutiennent le mouvement. C’est dire si le gouvernement est minoritaire dans son entêtement.

Les retraités déterminés

Les retraités-e-s n’ont pas l’intention d’en rester là. Le 14 juin ils rejoindront les salariés et les jeunes pour le retrait du projet de loi travail et toujours leurs revendications. Quatre des neuf organisations de retraités appellent les retraités à se mobiliser ce jour-là. 
Partout où les initiatives syndicales permettent à la population de cerner les enjeux du mouvement pour eux-mêmes et pour les droits de celles et ceux qui travaillent le soutien s’exprime. La CGT a décidé de s’adresser ainsi aux amateurs de football inquiets des conséquences des mouvements de grève sur la tenue de l’Euro 2016.

La votation citoyenne pour conforter le mouvement

La votation citoyenne sur le projet de loi se développe dans les entreprises et le pays et enregistre une forte exigence du retrait du projet. Le bon sens est du côté des salariés, des sans emploi, des jeunes et des retraités. L’obstination stérile et destructrice du côté du gouvernement et de ses soutiens.

Un mouvement en marche

Le mouvement continue, sous les formes adaptées aux circonstances, de la votation à la diffusion de tracts, à la communication via les réseaux sociaux jusqu’à la grève si les salariés en décident. Forts de son bon droit. Celui de refuser la casse du droit du travail, de vouloir un Code du travail du XXIe siècle, de permettre aux retraités-e-s de vivre dignement de leurs longues et souvent pénibles années de travail, de dessiner pour les jeunes un avenir libéré de la précarité.

1936 - 2016...

Ce sont les millions de grévistes qui, en 1936, ont permis des conquêtes sociales qui ont profondément changé la France sous le Front Populaire et préparé la résistance à l’occupant nazi, assuré sa défaite et inspiré les avancées sociales du Conseil national de la Résistance. Le mouvement de contestation et de propositions qui anime le pays est le plus bel hommage à ce moment décisif de notre Histoire. C’est pour cela aussi que les anciens et les jeunes se retrouveront ensemble jeudi 14 juin.
                                                    

mercredi 1 juin 2016

mardi 31 mai 2016

Laurent Berger (CFDT) au secours de la loi Travail


Mercredi, la veille de la journée d’action pour le retrait de la loi Travail, et dans le contexte d’une violente campagne contre les grévistes et la CGT, Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT déclare au Parisien : «Retirer la loi Travail serait inacceptable». Décryptage des arguments qu’il invoque.
Un soutien qui vient à point nommé à un gouvernement qui veut imposer sa loi par la force. Une attitude ou une posture pour le moins inacceptable pour un dirigeant syndical, quoi qu’il pense des motivations qui mobilisent sept syndicats contre le projet gouvernemental.

« Renoncer à cette loi serait renoncer à tous ces nouveaux droits »

Selon lui le gouvernement n’est qu’en partie responsable de la contestation qui gagne le pays. Il avance un argument utilisé chaque fois qu’un projet passe mal dans l’opinion : « une absence de pédagogie », le gouvernement « n’aurait pas assez explicité tous les nouveaux droits qui étaient ouverts aux salariés (…) » et il ajoute « Renoncer à cette loi serait renoncer à tous ces droits ». Argument non recevable car les syndicats qui demandent le retrait de la loi demandent dans le même temps que des négociations soient ouvertes pour un nouveau code du travail. Cette démarche responsable permettrait aux syndicats et à la CFDT de défendre ces nouveaux droits. 

Quand à mettre au compte du pouvoir de négociation de la CFDT les améliorations du projet, c’est « oublier » l’engagement de millions de salariés, les 1,4 million de signataires de la pétition contre la loi Travail, les manifestations, les journées de grève et les Nuits debout qui ont très certainement compté dans les reculs du gouvernement. 

Tout responsable syndical et les élus du personnel savent qu’une bonne négociation s’obtient toujours quand les salariés sont mobilisés sur leurs revendications. Et ce ne sont pas les qualités de négociateur de la CFDT qui ont permis aux chauffeurs routiers de conserver contre les dispositions du projet de loi Travail les modalités de calcul des heures supplémentaires qu’ils avaient conquis par leurs luttes.

Sur l’inversion de la hiérarchie des normes

Mais c’est encore sur le cœur du projet que Laurent Berger a le plus de mal à justifier son soutien au projet de loi : la priorité donnée aux accords d'entreprise sur la convention collective ou sur la loi. Il balaie avec désinvolture les arguments de ceux qui s’y opposent en les qualifiant de « fantasmes ». « Si la priorité est donnée aux accords d'entreprise, ce n'est pas pour faire moins pour les salariés mais mieux en apportant une réponse plus ajustée et plus efficace. » dit-il. Dans ce cas la hiérarchie des normes, et c’est même pour cela qu’elle a été instituée, permet précisément qu’un accord d’entreprise soit plus favorable aux salariés qu’un accord de branche ou que la loi ! Déduction logique : si la loi Travail veut inverser cette hiérarchie c’est pour empêcher que s’applique ce principe de faveur.

"Les salariés seraient protégés..."

« Même dans ces domaines [l’organisation et le temps de travail, visés par le projet de loi], les salariés resteront protégés par les règles actuelles sans accord majoritaire. ». Qu’en sera-t-il des petites et moyennes entreprises privées de syndicats soucieux de faire respecter le droit des salariés ? Il ne dit rien de la possibilité laissée au patron au cas où l’accord ne recueillerait pas l’accord de la majorité des syndicats, de recourir à un référendum auprès des salariés. Dirigeant syndical, il ne peut ignorer les diverses formes de chantage que peut user un patron pour obtenir un accord majoritaire : menaces de réduction d’effectifs, de licenciements voire de fermeture de l’entreprise.

Le précédent Smart

C’est un cas d’école que la loi dite Travail généraliserait : CGT et CFDT, représentant 53 % avaient rejeté l’accord proposé par la direction d’un retour aux 39 h payées 37h, au nom de la compétitivité. La direction, après avoir menacé de fermer l’usine si elle n’atteignait pas ses objectifs de compétitivité, a alors organisé un référendum qui a obtenu l’adhésion de 90 % des salariés. La porte-parole de la CFDT avait déclaré : "Terroriser le personnel pour arriver à ses fins n'est pas glorieux". Amnésie ou mensonge par omission ? Laurent Berger, qui le jour des manifestations du 26 mai s’exclamait dans le journal La Provence : « La CGT doit cesser de mentir » sans en apporter la moindre preuve, devrait mesurer des propos qui s’applique en l'occurence à lui, la preuve par Smart à l’appui.
Peut-il ignorer les risques de division des salariés dans une même entreprise, de concurrence entre les entreprises pour le moins disant salarial qui tirerait tous les salariés d’une branche vers le bas ?

Un tel dispositif génèrerait de graves inégalités de traitement des salariés d’une entreprise à une autre, une injustice généralisée. Ce qui n’empêche pas Laurent Berger, après l’évocation de « la précarité et des difficultés vécues par les salariés » d’affirmer que « La loi El Khomri est faite pour corriger ces injustices (…) » !

« Je n'ai pas peur des vociférations de l'extrême gauche »

Et pour finir, coup de pied de l’âne, à une question sur la détermination de la CGT, il répond « Je n'ai pas peur des vociférations de l'extrême gauche, quels que soient ses porte-voix ». Il insinue sans la nommer que la CGT « préfère miser sur l'extrême gauche en lui accordant une place surdimensionnée à un moment où par ailleurs le FN prospère (…)»
Passons sur l’accusation, elle aussi récurrente d’extrémisme, mais peut-on à ce point mépriser ce fait que l’extrême droite prospère sur les dégâts causés par les politiques d’austérité, le chômage et l’injustice qui frappent notre pays et l’Europe depuis des décennies ? Un mouvement social revendicatif comme celui que nous connaissons est au contraire de nature à faire reculer l’influence d’une formation politique qui se nourrit du mal-vivre et de la désespérance d’une partie du monde du travail.

Le moins qu’on puisse conclure en lisant Laurent Berger est qu’il n’est pas certain qu’il soit un aussi bon soutien au projet de loi Travail du gouvernement. Sa plaidoirie tendrait plutôt à conforter la mobilisation des salariés et de la population pour le retrait du projet de loi et pour une négociation sérieuse d’un Code du travail du XXIe siècle.
         Rendez-vous le 9 juin avec les retraités et le 14 juin tous ensemble !              

samedi 16 avril 2016

Chine 2016, c'est fini

Aprés 14 jours d'un séjour grandiose, intensif, historique, multi-culturel, où les repas ont été trés bons et variés surtout les 11 premiers jours, nous sommes rentrés à Nice avec pleins de souvenirs dans la tête, dans les appareils photos ou dans les caméras.

Durant ce sejour nous avons également fêtés 3 anniversaires (de personnes qui sont nées le même jour (le 03/04), 81, 80 et 63 ans).

Tous les participants (es) dont prêts (es) à repartir, pour d'autres découvertes.





















dimanche 7 février 2016

Viarregio un magnifique Carnaval

Malgré la pluie les participants, après un bon repas on pu admirer les chars (immenses) de carnaval ou tout le monde participe avec bonheur.




Ce qui impressionnant c'est la hauteur des chars